Jour 27. Ces croyances que l’on achète et qui nous empêchent d’évoluer

« Ha ben tu vois, c’est clairement une croyance que j’ai achetée! », m’a-t-elle lancé, tout de go. Ha! Ha! Oui! Des « croyances que l’on achète ». Je trouve l’image parfaite. « C’est fou hein? Le nombre de croyances que l’on achète et qui nous minent dans la vie? » Je n’ai pu faire autrement qu’acquiescer. C’est vrai qu’au courant de nos vies, l’on achète bon nombre de croyances. Probablement un trop grand nombre et à rabais en plus. Si on a acheté des croyances, on peut également aller au magasin pour se faire rembourser et les échanger pour des croyances plus positives et plus saines qui contribueront à notre épanouissement personnel. N’est-ce pas?

Jour 17. Ces doutes qui pourrissent la vie – ou comment apprendre à faire confiance à son instinct

Je ne sais pas pour vous, mais de mon côté, ça m’a pris du temps à reconnaître la voix de mon instinct en toute circonstance. Pendant longtemps, il a été cette petite voix que j’entendais parfois venir de l’extérieur de ma maison mentale, par la fenêtre entrouverte de la cuisine de mon cerveau. Je regardais par la fenêtre et je voyais ce type qui, du trottoir, s’agitait, me faisait signe de la main et criait vers ma fenêtre entrouverte du 4e étage, me suppliant de le laisser entrer, car il avait un message important à me dire.

Jour 16. Couvrez ce (des)sein que je ne saurais voir* – ou ma vaine quête du tatouage parfait

Je suis une femme tatouée. Bon, ça peut paraître aujourd’hui bien banal de dire ça. Mais, si vous m’aviez rencontrée il y aquelques années à peine, vous n’auriez pas cru que j’oserais dire ça un jour! Car voyez-vous, j’ai toujours eu une relation ambiguë avec les tatouages. Un mélange de fascination et de rejet. Et ce, depuis mon enfance. Pendant des années, me faire tatouer, c’était fermer une porte de ma vie définitivement. J’avais peur de le regretter.

Jour 15. Parlons nichons! (Et de nos complexes mammaires)

Nous sommes presque toutes complexées à divers degrés par nos seins, parce que jamais nous ne les montrons au naturel et, pire encore, jamais (ou presque) nous ne voyons ceux des autres au naturel, au quotidien. Et ce qui n’aide vraiment pas, c’est quand on en voit finalement des nus, dans la pub, ou au cinéma, ou sur les médias sociaux, ce sont généralement des images prises sous des angles les plus étudiés et les éclairages les plus avantageux possibles.

Jour 10. Comme un homard qui change de carapace

La leçon derrière ça? Elle est simple. Le signal pour changer de carapace, c’est l’inconfort. Le stress de se sentir coincée. Il disait que si les homards avaient des médecins, ils resteraient tout petits. Car ces médecins leur donneraient des pilules, afin d’éliminer leur stress et l’anxiété. Le stress et l’inconfort sont de bonnes choses, ils nous forcent à avancer.