Jour 27. Ces croyances que l’on achète et qui nous empêchent d’évoluer

« Ha ben tu vois, c’est clairement une croyance que j’ai achetée! », m’a-t-elle lancé, tout de go. Ha! Ha! Oui! Des « croyances que l’on achète ». Je trouve l’image parfaite. « C’est fou hein? Le nombre de croyances que l’on achète et qui nous minent dans la vie? » Je n’ai pu faire autrement qu’acquiescer. C’est vrai qu’au courant de nos vies, l’on achète bon nombre de croyances. Probablement un trop grand nombre et à rabais en plus. Si on a acheté des croyances, on peut également aller au magasin pour se faire rembourser et les échanger pour des croyances plus positives et plus saines qui contribueront à notre épanouissement personnel. N’est-ce pas?

Jour 17. Ces doutes qui pourrissent la vie – ou comment apprendre à faire confiance à son instinct

Je ne sais pas pour vous, mais de mon côté, ça m’a pris du temps à reconnaître la voix de mon instinct en toute circonstance. Pendant longtemps, il a été cette petite voix que j’entendais parfois venir de l’extérieur de ma maison mentale, par la fenêtre entrouverte de la cuisine de mon cerveau. Je regardais par la fenêtre et je voyais ce type qui, du trottoir, s’agitait, me faisait signe de la main et criait vers ma fenêtre entrouverte du 4e étage, me suppliant de le laisser entrer, car il avait un message important à me dire.

Jour 12. Ma résolution du Nouvel An: apprendre à fermer des portes!

Je fais partie de ces zinzins qui vont jusqu’à faire des bilans de décennies et se projettent ensuite, pas seulement dans l’année qui vient, mais également dans les 10 prochaines années à venir. C’est pour ça que je parle de bilan plutôt que de résolution. Car oui, si l’on parle de résolutions qui se résument à perdre du poids, mieux manger, boire moins, lire plus, arrêter de fumer, recommencer le gym. (Les classiques quoi?) Oui, c’est un peu overrated… Et les risques d’échouer sont élevés.

Jour 11. Savoir prendre une pause pour se rebâtir de l’intérieur

Malheureusement, le milieu académique a été infiltré par les bienpensants de l’entreprise capitaliste libérale qui souhaitent transformer les institutions de recherches et de production de connaissances en série et en une usine à diplômer. C’est antinomique à la production de connaissance. La science n’a pas besoin de quantité, mais de qualité. Et la qualité, intellectuelle, ça prend du temps. C’est pourquoi Julie La Renarde fait un pied de nez à tout ça et a décidé de prendre une pause.

Jour 6. L’amour au temps du numérique

Je me rappelle qu’elle disait un moment donné : « quand j’avais leur âge, dans les années 1990, on cherchait du sexe, et on rencontrait l’amour. Aujourd’hui, on cherche l’amour et on ne rencontre que du sexe », ou quelque chose comme ça… faudrait que je réécoute. Ça avait fait beaucoup réagir. Car ça ne touchait pas juste les jeunes, mais tout le monde.

Jour 1. Entre deux bouchées de poutine… à Paris!

Pourquoi manger de la poutine à Paris me direz-vous? Quand on est à l’étranger depuis si longtemps, retrouver un petit coin qui nous rappelle la maison, c’est très précieux. Manger de la poutine à Paris, c’est une rare occasion de faire ce que bon nombre d’expatriés des grandes nations font assez souvent : manger du « comfort food » de son coin de pays d’origine.