Jour 27. Ces croyances que l’on achète et qui nous empêchent d’évoluer

« Ha ben tu vois, c’est clairement une croyance que j’ai achetée! », m’a-t-elle lancé, tout de go. Ha! Ha! Oui! Des « croyances que l’on achète ». Je trouve l’image parfaite. « C’est fou hein? Le nombre de croyances que l’on achète et qui nous minent dans la vie? » Je n’ai pu faire autrement qu’acquiescer. C’est vrai qu’au courant de nos vies, l’on achète bon nombre de croyances. Probablement un trop grand nombre et à rabais en plus. Si on a acheté des croyances, on peut également aller au magasin pour se faire rembourser et les échanger pour des croyances plus positives et plus saines qui contribueront à notre épanouissement personnel. N’est-ce pas?

Jour 26. Et si l’on faisait de 2021 l’année de la gratitude?

L’année 2020 n’y est pas allée de main morte pour nous rappeler toute l’importance de la gratitude dans notre vie, n’est-ce pas? À la suite de cette qui nous a été « confisquée » par la pandémie, j’ai l’impression que nous sommes beaucoup plus conscients de la fragilité de nos vies et de notre confort. Nous avons été privés de tant de choses que nous prenions pour acquis que je crois, enfin je l’espère, que l’on développera, consciemment ou non, un fort sentiment de gratitude lorsque les choses reviendront à la « normale » au cours de la prochaine année.

Jour 17. Ces doutes qui pourrissent la vie – ou comment apprendre à faire confiance à son instinct

Je ne sais pas pour vous, mais de mon côté, ça m’a pris du temps à reconnaître la voix de mon instinct en toute circonstance. Pendant longtemps, il a été cette petite voix que j’entendais parfois venir de l’extérieur de ma maison mentale, par la fenêtre entrouverte de la cuisine de mon cerveau. Je regardais par la fenêtre et je voyais ce type qui, du trottoir, s’agitait, me faisait signe de la main et criait vers ma fenêtre entrouverte du 4e étage, me suppliant de le laisser entrer, car il avait un message important à me dire.

Jour 10. Comme un homard qui change de carapace

La leçon derrière ça? Elle est simple. Le signal pour changer de carapace, c’est l’inconfort. Le stress de se sentir coincée. Il disait que si les homards avaient des médecins, ils resteraient tout petits. Car ces médecins leur donneraient des pilules, afin d’éliminer leur stress et l’anxiété. Le stress et l’inconfort sont de bonnes choses, ils nous forcent à avancer.

Jour 4. Faire son lit le matin pour changer le monde

Il y a à peu près deux ans, je suis tombée sur cette capsule de l’amiral William McRaven, de la marine américaine, qui disait : « si vous voulez changer le monde, commencez par faire votre lit le matin ». « Quoi? Faire son lit le matin et vous changerez le monde? C’est dont ben niaiseux… » Instantanément, cette affirmation m’a ramené bon nombre d’années en arrière…

Jour 3. Changer sa vie en s’amusant à faire le chien

« Heille! Je les aime mes vieilles émotions! Peux-tu nous foutre la paix avec tes nouvelles émotions? On les aime nos vieilles pantoufles émotionnelles bon! » Pour remédier à ça, le type y va d’une analogie des plus intéressantes et amusantes : pour changer une habitude, on peut jouer à être un petit chien. Oui! Oui! Vous avez bien compris. « Jouer à être un petit chien ».