Jour 27. Ces croyances que l’on achète et qui nous empêchent d’évoluer

« Ha ben tu vois, c’est clairement une croyance que j’ai achetée! », m’a-t-elle lancé, tout de go. Ha! Ha! Oui! Des « croyances que l’on achète ». Je trouve l’image parfaite. « C’est fou hein? Le nombre de croyances que l’on achète et qui nous minent dans la vie? » Je n’ai pu faire autrement qu’acquiescer. C’est vrai qu’au courant de nos vies, l’on achète bon nombre de croyances. Probablement un trop grand nombre et à rabais en plus. Si on a acheté des croyances, on peut également aller au magasin pour se faire rembourser et les échanger pour des croyances plus positives et plus saines qui contribueront à notre épanouissement personnel. N’est-ce pas?

Jour 12. Ma résolution du Nouvel An: apprendre à fermer des portes!

Je fais partie de ces zinzins qui vont jusqu’à faire des bilans de décennies et se projettent ensuite, pas seulement dans l’année qui vient, mais également dans les 10 prochaines années à venir. C’est pour ça que je parle de bilan plutôt que de résolution. Car oui, si l’on parle de résolutions qui se résument à perdre du poids, mieux manger, boire moins, lire plus, arrêter de fumer, recommencer le gym. (Les classiques quoi?) Oui, c’est un peu overrated… Et les risques d’échouer sont élevés.

Jour 10. Comme un homard qui change de carapace

La leçon derrière ça? Elle est simple. Le signal pour changer de carapace, c’est l’inconfort. Le stress de se sentir coincée. Il disait que si les homards avaient des médecins, ils resteraient tout petits. Car ces médecins leur donneraient des pilules, afin d’éliminer leur stress et l’anxiété. Le stress et l’inconfort sont de bonnes choses, ils nous forcent à avancer.

Jour 1. Entre deux bouchées de poutine… à Paris!

Pourquoi manger de la poutine à Paris me direz-vous? Quand on est à l’étranger depuis si longtemps, retrouver un petit coin qui nous rappelle la maison, c’est très précieux. Manger de la poutine à Paris, c’est une rare occasion de faire ce que bon nombre d’expatriés des grandes nations font assez souvent : manger du « comfort food » de son coin de pays d’origine.