Jour 25. La Reine Doune est morte… Vive la Reine!

Il était une fois, un petit chaton abandonné sur le bord d’un grand cours d’eau, qui allait connaitre une grande destinée. Qui aurait cru que ce petit bébé chat couleur rayon de soleil allait régner sur toute une communauté et offrir bonheur et réconfort à quiconque viendrait lui réclamer du soutien? Un peu comme Moïse sauvé des eaux, le petit chaton allait devenir la Reine Doune qui, bénie des dieux, saura vivre presque éternellement en traversant 21 printemps. Oui! Oui! Vous avez bien lu. Notre chère Doune a vécu jusqu’à son 21e anniversaire!

Jour 14. Je suis une renarde, veux-tu m’apprivoiser?

« Et puis regarde! Tu vois, là-bas, les champs de blé? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c’est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d’or. Alors ce sera merveilleux quand tu m’auras apprivoisé ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j’aimerai le bruit du vent dans le blé… » La première fois que j’ai lu ces lignes, j’ai été conquise. Je trouvais que dans ces mots tout simples, ce brave renard avait compris l’essence du bonheur sur terre.

Jour 10. Comme un homard qui change de carapace

La leçon derrière ça? Elle est simple. Le signal pour changer de carapace, c’est l’inconfort. Le stress de se sentir coincée. Il disait que si les homards avaient des médecins, ils resteraient tout petits. Car ces médecins leur donneraient des pilules, afin d’éliminer leur stress et l’anxiété. Le stress et l’inconfort sont de bonnes choses, ils nous forcent à avancer.

Jour 3. Changer sa vie en s’amusant à faire le chien

« Heille! Je les aime mes vieilles émotions! Peux-tu nous foutre la paix avec tes nouvelles émotions? On les aime nos vieilles pantoufles émotionnelles bon! » Pour remédier à ça, le type y va d’une analogie des plus intéressantes et amusantes : pour changer une habitude, on peut jouer à être un petit chien. Oui! Oui! Vous avez bien compris. « Jouer à être un petit chien ».

Jour 2. Le syndrome post-traumatique de la porte fermée

Mon problème? Mon problème, ce n’est pas de trouver un sujet. Mon problème, c’est plutôt de choisir un sujet. Je suis femme de mille et une idées, de mille et une pensées. Ma tête n’arrête pas. Je suis une machine à penser. C’est épuisant… Plus je vieillis et plus je trouve ça pénible de toujours être en train de réfléchir. Il parait que c’est ça être HPI. « Haut potentiel intellectuel ». On n’est pas capable d’arrêter de penser.